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Archives de Catégorie: LES FILMS DE SEAN CONNERY

« TRAIN D’ENFER » (1957)

Écrit et réalisé par Cy Endfield, « TRAIN D’ENFER » reprend les grands schémas du western classique : un mystérieux étranger qui débarque de nulle part, un rival hostile, des femmes en pâmoison. À la différence que le scénario est situé dans l’univers des camionneurs en Angleterre.

Stanley Baker à peine sorti de prison, signe pour un job dangereux où chaque aller-retour d’une carrière de gravier au chantier devient un jeu mortel. Il doit affronter le caïd local, Patrick McGoohan crapule névrosée et quasi suicidaire et la bande d’abrutis à ses ordres. L’histoire est simple, mais les personnages sont bien dessinés et la distribution est d’une grande richesse : outre Baker, tendu comme une corde à piano, qui ne décroche pas un sourire et domine le film, McGoohan tout empreint de la Méthode Actors Studio (n’oublions pas qu’il est né aux U.S.A.), campe un psychopathe balafré et ricanant avec verve. Herbert Lom est excellent en Italien chaleureux, Peggy Cummins (« GUN CRAZY ») se sort bien d’un rôle ambigu et écrit de façon étonnamment moderne. Autour d’eux, des visages destinés à la célébrité dans les années à venir : Sean Connery en grand imbécile belliqueux, Jill Ireland en gentille serveuse et David McCallum en jeune frère estropié de Baker. Cela fait un très bel ensemble et tout le monde a son morceau à défendre. On pense bien sûr souvent au « SALAIRE DE LA PEUR », mais « TRAIN D’ENFER » possède sa propre identité. Sa dureté, sa totale absence de sentimentalité et le réalisme de ses séquences sur la route, en font une œuvre âpre et sombre, nullement amoindrie par les années. Intéressant donc, de voir le cinéma anglais égaler l’américain en utilisant ses propres outils et un savoir-faire équivalent.

PEGGY CUMMINS, STANLEY BAKER PATRICK McGOOHAN, HERBERT LOM, SIDNEY JAMES, SEAN CONNERY ET WENSLEY PITHEY
 

« LA COLLINE DES HOMMES PERDUS » (1965)

« LA COLLINE DES HOMMES PERDUS » de Sidney Lumet est une production anglaise située dans un camp de prisonniers en Lybie, pendant la WW2. C’est une fable en huis clos sur l’armée, l’abus d’autorité, sur les jeux de pouvoir où tout est pipé.

Cinq nouveaux prisonniers : l’endurant Sean Connery, le rebelle Ossie Davis, le pleutre Roy Kinnear, la terreur Jack Watson et le fragile Alfred Lynch, se retrouvent entre les mains de militaires sadiques, particulièrement Ian Hendry un sergent déterminé à les détruire sans pitié. Dans un magnifique noir & blanc d’Oswald Morris, sans aucune musique, le film se referme comme un piège sur le spectateur et ne le lâche plus pendant deux heures. Gros-plans de visages déformés par les courtes-focales, hommes en sueur, poussés au bout de l’épuisement physique et mental, tout est réuni pour créer un malaise et une indignation encore efficaces aujourd’hui. Ces brutes galonnées n’ont pas besoin d’ennemis pour faire leur guerre : ils s’en prennent aux laissés-pour-compte de leur propre armée. La maîtrise de Lumet est admirable, mais il ne laisse filtrer aucun espoir, aucune issue possible. Connery, dans le rôle qui lui valut ses galons d’acteur « sérieux », est excellent au sein d’une distribution sans faille : Davis splendide qui sait retourner le racisme des autres à son avantage, Harry Andrews dans le rôle de sa vie en officier responsable du bagne, un salopard cynique et braillard, Ian Bannen le seul personnage vraiment humain de l’histoire. Mais c’est Hendry qui rafle la mise en créant le méchant le plus haïssable qu’on puisse trouver : un lâche planqué derrière ses galons, adepte de la torture, véritable diable de cet enfer surchauffé. « LA COLLINE DES HOMMES PERDUS » n’est pas une œuvre qui redonne espoir sur l’espèce humaine, il ne fait aucune concession au « commercial », mais ce n’est pas le genre de film qu’on oublie aisément.

SEAN CONNERY, OSSIE DAVIS, HARRY ANDREWS ET IAN HENDRY
 

« HAUTE VOLTIGE » (1999)

« HAUTE VOLTIGE » de Jon Amiel est un des derniers films tournés par Sean Connery avant sa retraite et un des plus insignifiants de cette morne partie de sa carrière.

À 69 ans, le vétéran a toujours de l’allure dans ce rôle de voleur écossais (bien sûr) qui s’associe à une jeune « collègue » pour le braquage du siècle, qui doit avoir lieu la nuit du changement de millénaire. Le problème, c’est que pour créer un tandem magique comme dans « L’AFFAIRE THOMAS CROWN », par exemple, il faut que les deux partenaires soient du même niveau, dégagent le même charisme à l’image. Ce n’est hélas, pas du tout le cas de Catherine Zeta-Jones, jolie femme certes, mais qui n’a pas de regard, pas d’humour ni de malice dans un personnage qui exigeait une Diana Rigg jeune. Face à elle, Connery ne parvient pas à donner le meilleur de lui-même et semble distrait, fatigué parfois. De fait – alors que ce duo était censé être le moteur du film – « HAUTE VOLTIGE » ne fonctionne pas un instant. On voyage de Londres à la Malaisie, en passant par un château en Écosse, on nous sert des gadgets high-techs à profusion, des acrobaties de plus en plus invraisemblables, mais rien n’y fait : quelque chose cloche dans ce film. On se croirait dans un sous « MISSION : IMPOSSIBLE » (sensation renforcée par la présence de Ving Rhames dans un rôle assez similaire à celui qu’il tient dans la franchise de Tom Cruise) et les séquences de séduction sont d’un ennui colossal. Y a-t-il tout de même un peu de bon, là-dedans ? Le plaisir, malgré tout, de revoir ce vieux Sean, élégant, ironique, mais clairement « too old for this shit », la présence de bons seconds rôles comme Will Patton et Maury Chaykin. Mais cela ne suffit pas à dissiper l’inertie foncière et à supporter les longueurs de ce film tout simplement raté. Et c’est bien dommage !

SEAN CONNERY, CATHERINE ZETA-JONES ET VING RHAMES
 

« JAMAIS PLUS JAMAIS » (1983)

Parce qu’il ne fait pas partie des productions Broccoli, parce qu’il est une sorte de remake de « OPÉRATION TONNERRE », et parce que Sean Connery y endosse pour la dernière fois et après 18 ans, le smoking de 007, « JAMAIS PLUS JAMAIS » d’Irvin Kerschner est un James Bond à part, « alternatif », en pleine période Roger Moore, dont il fut un concurrent direct.

Le scénario (un vol d’ogives nucléaires) n’a aucune espèce d’importance, c’est un prétexte à voyager, à faire de la plongée aux Bahamas et à croiser des femmes sublimes. Le début du film est délectable : Bond, jugé obsolète par le nouveau « M » (Edward Fox), est envoyé faire une cure de remise en forme. C’est le moment le plus drôle et plaisant de ces 134 minutes. Car le film est long, parfois très long, il tente un mélange d’action classique et de comédie plus ou moins légère. Ainsi, Fox en fonctionnaire coincé et snob et Rowan Atkinson en ambassadeur gaffeur font-ils franchement dans la gaudriole, Klaus-Maria Brandauer est en roue-libre en milliardaire dangereux, Barbara Carrera est déchaînée en tueuse foldingue (et pique la vedette à tout le monde au passage !). Max Von Sydow ne fait que passer en Blofeld très effacé. Connery, un peu abîmé par une perruque qui ne lui va pas du tout, est excellent de bout en bout, nageant comme un poisson dans l’eau dans l’autodérision et les sous-entendus coquins. Il est la principale raison de revoir le film. Avec bien sûr, Kim Basinger, magnifique en blonde atomique manipulée par un pervers-narcissique. Il y a donc de vrais moments de plaisir dans « JAMAIS PLUS JAMAIS » (on pense au tango dansé par Connery et Basinger, irrésistible), qui aident à supporter une BO pénible de Michel Legrand qui vieillit considérablement l’ensemble et des séquences totalement ratées comme celles du jeu vidéo ou de l’épisode à Palmyre qui semble tout droit sorti d’un vieux serial. « JAMAIS PLUS JAMAIS » c’est, en somme, un faux James Bond, mais interprété par le vrai James Bond. Paradoxal et à moitié convaincant.

BARBARA CARRERA, SEAN CONNERY ET KIM BASINGER
 

« CŒUR DE DRAGON » (1996)

« CŒUR DE DRAGON » de Rob Cohen est une fable médiévale dérivée de la mythologie arthurienne, contant l’improbable amitié entre un chevalier déchu (Dennis Quaid) et… le dernier dragon sur terre (qui s’exprime avec l’accent écossais de Sean Connery), luttant contre un tyran (David Thewlis) qui fut jadis le disciple de Quaid.

La première impression en revoyant le film, c’est que les années n’ont pas été très clémentes envers lui. Le scénario d’abord, d’une naïveté confondante, le désigne comme un spectacle pour enfants, les extérieurs tournés en Slovaquie manquent de flamboyance et les intérieurs de studio font vraiment carton-pâte et semblent toujours trop éclairés. Mais la plus grosse déception vient des CGI et principalement le design du dragon. Tourné trois ans après « JURASSIC PARK », « CŒUR DE DRAGON » propose pourtant un reptile ailé beaucoup moins réaliste et soigné que les dinosaures de Spielberg. S’il fait de l’effet dans les plans larges et en mouvement, il convainc à moitié dans les gros-plans. Fort heureusement, les intonations ironiques de Sir Sean aident à faire passer la pilule. Dans un cast essentiellement anglais, Quaid et Dina Meyer semblent un peu déplacés. Lui en noble défenseur du « code ancien », elle en paysanne rousse experte à l’épée. Autour d’eux, d’excellents seconds rôles comme Peter Postlethwaite en moine poète, Thewlis qui se délecte d’un rôle d’ordure absolue, Jason Isaacs et Brian Thompson en bad guys et – last but not least – Julie Christie en reine écœurée par son propre rejeton. « CŒUR DE DRAGON » peut se laisser revoir sans trop d’ennui, en s’amusant du gros clin d’œil à Sergio Leone (l’arnaque de Quaid et de son ami ailé rappelle fortement celle de Blondin et Tuco dans « LE BON, LA BRUTE, LE TRUAND ») et en se montrant indulgent pour son manque d’ampleur visuelle et sa poésie bon marché.

À noter : c’est le shakespearien John Gielgud qui prête sa voix au spectre du roi Arthur le temps d’une séquence dans les ruines de Camelot. Et dans la VF, Philippe Noiret remplace Sean Connery pour la voix de Draco.

DENNIS QUAID, DAVID THEWLIS ET DINA MEYER
 
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AUJOURD’HUI, SEAN AURAIT EU 91 ANS !

 

« SOLEIL LEVANT » (1993)

SEAN CONNERY

Écrit et réalisé par Philip Kaufman, d’après un roman de Michael Crichton, « SOLEIL LEVANT » avait, à sa sortie, des allures de polar high-tech, représentant une Amérique « vendue » au Japon. Les années ont passé et le film a pris ce qu’on appelle un méchant coup de vieux.

À la suite du meurtre d’une prostituée au cours d’une party dans la tour d’une société nippone à L.A., le flic Wesley Snipes enquête, flanqué de Sean Connery collègue semi-retraité spécialiste du Japon où il a longtemps vécu. Le duo fonctionne étonnamment bien, leurs échanges sont assez drôles : le vieux sage goguenard et la tête brûlée récalcitrante. Mais le scénario, bâti autour d’un enregistrement vidéo trafiqué accusant le voyou sympathique Cary Hiroyuki-Tagawa, s’avère laborieux et au fond, pas très passionnant. Le plus déconcertant est encore la facture du produit : la photo du pourtant grand Michael Chapman est ingrate, truffée de plans flous, les séquences d’action semblent bâclées par un Kaufman qu’on a connu plus méticuleux, et certaines scènes (ATTENTION : SPOILER !) comme le suicide de Ray Wise, ont l’air bricolées, fabriquées avec des morceaux d’autres scènes. Drôle d’impression donc, laissée par ce film froid, aux fausses-pistes lassantes. Autour du duo de stars, de bons acteurs comme la très belle Tia Carrere, Harvey Keitel en ripou raciste, Steve Buscemi (dont le rôle a dû être écourté au montage) en journaleux collant. Si aujourd’hui, les karaokés, les brushings ridicules et l’insistance à filmer une technologie désuète plombent sévèrement « SOLEIL LEVANT », on peut se laisser emporter pendant deux heures, ne serait-ce que pour le bonheur de revoir le grand Sean dans ses œuvres, parlant japonais avec l’accent écossais et jouant au golf avec un plaisir non-dissimulé.

WESLEY SNIPES, SEAN CONNERY, CARY HIROYUKI-TAGAWA ET TIA CARRERE

 

« LE NOM DE LA ROSE » (1986)

SEAN CONNERY

Inspiré du roman d’Umberto Eco, « LE NOM DE LA ROSE » de Jean-Jacques Annaud est une co-production européenne, qui marque le retour aux affaires de Sean Connery après dix années de traversée du désert, d’échecs commerciaux ou artistiques.

Dans l’enceinte d’un monastère en Italie, au 14ᵉ siècle, l’Écossais joue un moine instruit et intuitif, qui va enquêter sur une série de meurtres décimant les occupants de l’endroit. Flanqué d’un jeune apprenti (Christian Slater), il va devoir louvoyer entre les maîtres des lieux (Michel Lonsdale, Feodor Chaliapin, Jr.) et l’Inquisition (F. Murray Abraham) et son cortège de violences. C’est original, érudit, le message sur la puissance du rire humain, si menaçant pour l’Église a des résonnances incroyablement contemporaines et prémonitoires de notre funeste 21ᵉ siècle. Décors et costumes sont d’une grande minutie tout comme le choix de « trognes », de gueules cassées pour incarner les religieux. Mais quelque chose empêche le film de décoller et d’être le classique qu’il aurait dû devenir. Son faux-rythme, peut-être, il semble trop court ou trop long. Et puis le parti-pris de photo du grand Tonino Delli Colli, dont l’uniformité ocre-jaune finit par lasser l’œil et rendre le spectacle monotone et quelque peu léthargique. Heureusement, Connery est magnifique de retenue et d’intelligence dans ce rôle de limier en soutane nommé « Guillaume de Baskerville » (ce n’est pas la seule allusion à l’auteur de Sherlock Holmes), prêt à tout sacrifier pour sauver des livres précieux. Il est égal à lui-même sans l’être tout à fait. Autour de lui se distinguent Chaliapin extraordinaire en vieux moine aveugle et intolérant, William Hickey en Franciscain doucereux et un peu gâteux et surtout Ron Perlman, extraordinaire en bossu simiesque s’exprimant en plusieurs langues dans la même phrase, qui pique la vedette à tout ce beau monde. À voir donc, ce « NOM DE LA ROSE » légèrement surestimé, mais plaisant à suivre.

WILLIAM HICKEY, SEAN CONNERY, CHRISTIAN SLATER, RON PERLMAN ET F. MURRAY ABRAHAM

À noter : un remake sera tourné en 2019 sous forme de mini-série TV avec John Turturro dans le rôle de Baskerville.

 

« L’ENQUÊTE MYSTÉRIEUSE » (1961)

SEAN CONNERY ET HERBERT LOM

En 1961, Sean Connery a tourné quelques petits rôles sans intérêt au cinéma, plusieurs téléfilms avec des emplois plus consistants. « L’ENQUÊTE MYSTÉRIEUSE » (titre français qui ne veut strictement rien dire !) de John Lemont est un petit polar anglais dont il tient la vedette, même s’il n’apparaît qu’en 3ᵉ position au générique.

L’acteur écossais est bien l’unique raison de voir cette série B qui évoque un épisode des « INCORRUPTIBLES » relocalisé à Londres. Un comptable (Herbert Lom) parvient à organiser les gangs de racketteurs en coopérative, grâce à l’efficacité du gros-bras Connery. Ils ont un flic cynique (John Gregson) aux trousses. Évidemment, les malfrats finiront par se tirer dans les pattes et seul s’en sortira Connery, un peu moins idiot que les autres et aussi un peu plus loyal. Le film est d’une mollesse terrible, rien à voir avec les petits films noirs made-in-U.S.A. de la même époque. On passe d’intérieurs en intérieurs, on bavarde énormément, on fomente des plans et on passe surtout trop de temps avec le cabotin Alfred Marks dont les grimaces lassent très vite. Connery apparaît au bout d’une demi-heure et éclipse instantanément tout le monde. Il joue un séducteur viril, balance des sous-entendus à la 007 (« Tu as mal à la tête ? » s’enquiert une jeune femme, « Non, ça se passe un peu plus bas »), fait preuve d’une présence physique hors-norme et semble avoir achevé ses classes. L’année suivante, il sera choisi pour incarner James Bond et en voyant ce film, on comprend parfaitement pourquoi. Il a de bonnes scènes avec la très sexy Yvonne Romain qui lui fait perdre la tête, fait intelligemment passer son changement de dur-à-cuire à « balance » consentante pour les flics, sans jamais devenir méprisable. Il est – avec un magnifique noir & blanc de Desmond Dickinson – l’excuse pour découvrir cette « ENQUÊTE MYSTÉRIEUSE » qui marque, quatre ans après ses débuts, la véritable entrée de Sean Connery dans l’Histoire du 7ᵉ Art.

SEAN CONNERY ET YVONNE ROMAIN

 

SEAN CONNERY TOP TEN

Oui, pas de doute, Sean Connery est bel et bien mort. Il n’était plus présent sur les écrans depuis 17 ans et s’était retiré sur un gros échec (« LA LIGUE DES GENTLEMEN EXTRAORDINAIRES »), mais il avait vieilli tranquillement aux Bahamas, loin du monde et apparemment très heureux de ne plus être acteur.

« THE OFFENCE »

Pour poursuivre l’hommage d’hier, chargé d’émotion, tant Connery est intimement lié au passé de chacun, à sa cinéphilie, « BDW2 » propose une petite liste tout à fait subjective de ses 10 meilleurs rôles. Les visiteurs sont les bienvenus pour soumettre la leur dans les commentaires :

  • « THE OFFENCE» (polar âpre et réaliste signé Sidney Lumet, où Connery joue un flic des plus ambigus)
  • « LA ROSE ET LA FLÈCHE» (en Robin des bois grisonnant revenu des croisades)
  • « LE LION ET LE VENT» (en chef de tribu arabe kidnappant une Américaine et son fils)
  • « L’HOMME QUI VOULUT ÊTRE ROI» (en soldat de fortune en Inde, un duo inoubliable avec Michael Caine)
  • « INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE» (il joue le père d’Harrison Ford, la plus réussie des incursions de Connery dans la comédie)
  • « LA COLLINE DES HOMMES PERDUS» (puissant en soldat emprisonné et insoumis)
  • « JAMAIS PLUS JAMAIS» (un regard ironique sur un 007 vieillissant, pour clore ce chapitre de sa carrière)
  • « SOLEIL LEVANT» (étonnant dans un rôle de « senseï » joueur de golf)
  • « JUSTE CAUSE» (remarquable en ex-avocat reprenant du service)
  • « LES INCORRUPTIBLES» (un second rôle de vieux flic de Chicago, qui lui valut l’Oscar)
 
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Publié par le 1 novembre 2020 dans ACTU DE BDW2, LES FILMS DE SEAN CONNERY